VENDREDI 11/08/2017
Avant de vous faire vivre ma première journée de cette 45ème édition de l'AvD Oldtimer,
petit détour en ce vendredi matin par le parking qui sert de point de départ à la Nordschleife.
En effet le Rallye Germania Supercars y est de passage, l'occasion d'y croiser quelques voitures prestigieuses.
Un rallye qui a lieu tous les deux ans, et qui passe par le toboggan des Ardennes, ainsi que par l'enfer vert.
Outre cette McLaren 675LT, trois Koenigsegg étaient présentes dont cette Koenigsegg Agera RS ML.
Ainsi que cette magnifique McLaren P1.
Sa ligne d'une finesse absolue m'a laissé sans voix. Quelle fluidité !
Une voiture qui me fuyait depuis sa sortie en 2013. Voilà le sort conjuré.
Sa ligne d'une finesse absolue m'a laissé sans voix. Quelle fluidité !
Une voiture qui me fuyait depuis sa sortie en 2013. Voilà le sort conjuré.
Direction le circuit F1 pour ce qui a été, je dois l'avouer, une journée très peu prolifique en terme de photo.
Des trombes d'eau se sont abattues sur le circuit toute la journée, ce qui a totalement compliqué les choses.
L'optimisme des pilotes de F1 qui avaient fait le choix de partir en pneu slick malgré un ciel menaçant n'a pas payé.
Quelques secondes seulement après l'extinction des feux et leur départ pour cette séance de qualification, la pluie a fait son apparition.
Chose rare, je n'ai jamais eu l'occasion de vous présenter ces deux premières F1.
Il s'agit de la Lotus 77 de Gregory Thornton.
Châssis R1, au volant duquel Mario Andretti a remporté le fameux GP du Japon 1976.
C'est au terme de cette course que James Hunt est devenu champion du monde,
après que Niki Lauda ait décidé de se retirer, jugeant les conditions de course trop dangereuses.
Outre cette victoire, Mario Andretti a fini troisième des grands prix des Pays Bas et du Canada, toujours au volant de cette auto.
Des trombes d'eau se sont abattues sur le circuit toute la journée, ce qui a totalement compliqué les choses.
L'optimisme des pilotes de F1 qui avaient fait le choix de partir en pneu slick malgré un ciel menaçant n'a pas payé.
Quelques secondes seulement après l'extinction des feux et leur départ pour cette séance de qualification, la pluie a fait son apparition.
Chose rare, je n'ai jamais eu l'occasion de vous présenter ces deux premières F1.
Il s'agit de la Lotus 77 de Gregory Thornton.
Châssis R1, au volant duquel Mario Andretti a remporté le fameux GP du Japon 1976.
C'est au terme de cette course que James Hunt est devenu champion du monde,
après que Niki Lauda ait décidé de se retirer, jugeant les conditions de course trop dangereuses.
Outre cette victoire, Mario Andretti a fini troisième des grands prix des Pays Bas et du Canada, toujours au volant de cette auto.
Ici la Tyrrell 012 de Martin Stretton.
Chassis 012/5, elle a été pilotée par Stefan Bellof en 1985 au Paul Ricard, à Silverstone et au Nürburgring.
Malgré tout, elle arbore les couleurs de la saison 1983, ce qui pour moi, est une énigme.
Chassis 012/5, elle a été pilotée par Stefan Bellof en 1985 au Paul Ricard, à Silverstone et au Nürburgring.
Malgré tout, elle arbore les couleurs de la saison 1983, ce qui pour moi, est une énigme.
Une voiture aux formes atypiques, qui a marqué son époque.
Sa forme de flèche était dû au choix des ingénieurs de concentrer le poids sur l'arrière.
Malgré ses airs de Brabham BT52, elle avait du mal avec son V8 atmosphérique à rivaliser en vitesse pure avec les moteurs turbo de ses concurrentes.
Néanmoins, son poids réduit et sa fiabilité, lui ont permis d'obtenir quelques bons résultats.
Sa forme de flèche était dû au choix des ingénieurs de concentrer le poids sur l'arrière.
Malgré ses airs de Brabham BT52, elle avait du mal avec son V8 atmosphérique à rivaliser en vitesse pure avec les moteurs turbo de ses concurrentes.
Néanmoins, son poids réduit et sa fiabilité, lui ont permis d'obtenir quelques bons résultats.
Moment de concentration avant le début de la séance.
Fred Lajoux au volant de son Arrow A1 de 1978.
Habitué des courses historiques, il participe cette année à sa première saison au volant d'une F1.
Première saison plutôt réussie puisqu'il se bat aux avants postes.
Chassis A1/3 cette Arrows était pilotée en 1978 par l'italien Riccardo Patrese ( 4ème au GP du Canada ),
et en 1979 par Jochen Mass ( 4ème à la Race of Champions ).
A noter la très belle déco aux couleurs de Warsteiner, leur sponsor principal de l'époque.
Habitué des courses historiques, il participe cette année à sa première saison au volant d'une F1.
Première saison plutôt réussie puisqu'il se bat aux avants postes.
Chassis A1/3 cette Arrows était pilotée en 1978 par l'italien Riccardo Patrese ( 4ème au GP du Canada ),
et en 1979 par Jochen Mass ( 4ème à la Race of Champions ).
A noter la très belle déco aux couleurs de Warsteiner, leur sponsor principal de l'époque.
Joaquin Folch dans sa Brabham BT49. Une voiture qui a permis à Nelson Piquet de remporter le titre en 1981.
Ce chassis BT49/10 a participé à une seule course. Le grand prix d'Afrique du Sud 1981 aux mains du Brésilien Nelson Piquet.
Parti en pole position, il finira par céder aux assauts de Carlos Reutemann, finissant second à 20 secondes du pilote argentin.
Ce grand prix ( hors championnat ) fut l'un des événements majeurs de ce que l'on appelle la guerre FISA-FOCA,
lutte qui a opposé de 1979 à 1982 la FISA (Fédération internationale du sport automobile)
à la FOCA (Formula One Constructors Association), l'association des écuries de F1 dirigée par Bernie Ecclestone.
En février 1981, la FOCA annonce l'organisation du GP d'Afrique du Sud, épreuve dont elle a le contrôle,
et que la FISA n'a pas intégré au calendrier du championnat du monde de Formule 1 1981.
La piste a maintenant séché, Michael Lyons repasse par les stands pour mettre des pneus slicks.
Son mécano en profite pour enlever le ruban adhésif sur les écopes de frein de sa Williams FW07.
Ses adhésifs sont mis en place lorsque la piste est humide afin de permettre au frein de monter en température.
Cette Williams FW07 chassis FW07/02 est ici dans sa configuration GP Hockenheim 1980 ( Sponsor RAM/Penthouse-Rizla Racing )
Une saison 1980 décevante, où elle était pilotée par Rupert Keegan qui a enchaîné les contres performances.
Pourtant, cette voiture a fait une saison 1979 réussie aux mains de Clay Regazzoni,
puisqu'elle a gagné à Silverstone ( la première victoire du Suisse )
et est arrivée deuxième à Monaco et à Hockenheim. C'était aux couleurs Saudia Williams.
Ci dessous, ce fameux chassis FW07/02 dans sa version "saison 1979" et dans sa version "saison 1980".
Cette fois il pleut pour de bon ! Aucun doute que les pilotes n'amélioreront plus leur chrono.
Il est temps de rentrer les F1 au stand. Rendez vous demain pour la course 1.
Il est temps de rentrer les F1 au stand. Rendez vous demain pour la course 1.
C'est sur une piste détrempée que la séance qualificative du Tourenwagen Classics va se dérouler.
L'occasion de retrouver les voitures qui ont participé au Nuerburgring Classic en juin dernier.
L'occasion de retrouver les voitures qui ont participé au Nuerburgring Classic en juin dernier.
Sans surprise, c'est Rupp Stefan qui a signé la pole position avec un chrono de 2:04:337, 1sec211 devant Jörg Hatscher.
Quatrième place pour Thorsten Stadler au volant de sa Mercedes Benz C-Klasse.
Pour terminer cette journée, pas de chrono, simplement du roulage pour ces voitures d'avant guerre.
Courageux, les pilotes ont dû braver des conditions dantesques.
C'est malgré tout le sourire aux lèvres, qu'ils ont retrouvé la pit lane à la fin de cette session de roulage.
Après un début de matinée brumeux où la visibilité était quasi nulle, l'après midi aura été pluvieuse.
C'est donc mouillé de la tête au pied que je quitte le circuit.
Cet article est sans aucun doute le moins fourni des trois. J'espère qu'il vous aura quand même plu.
Un article pour les trois jours aurait certainement été trop long. J'ai donc pas eu le choix que d'associer un article par journée.
C'est jamais simple, lorsqu'on traite pas l'actualité de l'événement ( résultats, ... ), mais l'histoire des modèles présents,
de ne pas être redondant d'article en article, surtout lorsque les voitures croisées ont tendance à être les mêmes.
C'est donc mouillé de la tête au pied que je quitte le circuit.
Cet article est sans aucun doute le moins fourni des trois. J'espère qu'il vous aura quand même plu.
Un article pour les trois jours aurait certainement été trop long. J'ai donc pas eu le choix que d'associer un article par journée.
C'est jamais simple, lorsqu'on traite pas l'actualité de l'événement ( résultats, ... ), mais l'histoire des modèles présents,
de ne pas être redondant d'article en article, surtout lorsque les voitures croisées ont tendance à être les mêmes.