C'est reparti pour une édition des 6H de Spa Classic.
Direction les Combes pour commencer ce week end avec la course 1 de l'Historic Sports Car Club.
Heureusement, le brouillard omniprésent en début de matinée a laissé place à un ciel ensoleillé.
Une météo idéale pour mettre en valeur les couleurs de cette BMW 3.0CSL.
A droite la GRD S73 Chassis: S73-073 d'Eric Mestdagh
Deux Lotus, une Elite et une Europa, suivies d'une Ferrari 308 GT4,
et de la sublime Lola T282 Chassis HU6 aux couleurs Gitanes.
Un prototype piloté en 1973 par Jean-Louis Lafosse et Reine Wisell.
Pour les courses de 24h, Hughes de Fierlant se joignait à eux.
Leo Voyazides et Simon Hadfield vont à son volant remporter cette course.
et de la sublime Lola T282 Chassis HU6 aux couleurs Gitanes.
Un prototype piloté en 1973 par Jean-Louis Lafosse et Reine Wisell.
Pour les courses de 24h, Hughes de Fierlant se joignait à eux.
Leo Voyazides et Simon Hadfield vont à son volant remporter cette course.
Une victoire acquise avec 15 secondes d'avance
sur la Chevron B23 du belge Guy Peeters.
Chassis B23-73-08, elle a remporté
les 1000 kms du Nurburgring 1973
dans sa catégorie ( 3e au Classement Général ).
A son volant : John Burton et John Bridges
La Ferrari 250 GT SWB Berlinetta Competizione chassis 1811GT de Clive Joy, Jarrah Venables et Christian Traber.
Une voiture acquise par Jean Blaton en 1960, et qui a participé la même année
aux 1000km du Nurburgring, aux 24h du Mans et aux 1000km de Paris à Monthléry.
A ses cotés, la Tyrrell 010 du régional de l'étape, Loic Deman.
Une voiture acquise par Jean Blaton en 1960, et qui a participé la même année
aux 1000km du Nurburgring, aux 24h du Mans et aux 1000km de Paris à Monthléry.
A ses cotés, la Tyrrell 010 du régional de l'étape, Loic Deman.
La grande majorité des pilotes, avaient arboré ce sticker en hommage à David Ferrer,
décédé quelques jours plus tôt sur le circuit de Zandvoort, après un effroyable accident au volant de sa March 701.
Je profite de ces quelques lignes pour présenter mes sincères condoléances à sa famille.
décédé quelques jours plus tôt sur le circuit de Zandvoort, après un effroyable accident au volant de sa March 701.
Je profite de ces quelques lignes pour présenter mes sincères condoléances à sa famille.
Place maintenant à une catégorie qui intègre pour la première les Spa Six Hours : Le Masters Endurance Legends.
Cette catégorie rassemble l'ensemble des voitures sportives de haut niveau des séries telles que International Sports Racing Legends, Championnat FIA Sports Car, European Le Mans Series, American Le Mans Series, Intercontinental Le Mans Cup et Le Mans Endurance Series.
Les voitures qui roulaient sous les anciens règlements SR1 et SR2 sont également éligibles, tout comme les prototypes 1 et 2.
C’est dire s’il existe un grand nombre de voitures pouvant concourir dans cette nouvelle série.
A noter également que les voitures de sport IMSA et les GT1 / GT2, toutes de période équivalente, rouleront dans leurs propres catégories.
L'occasion de retrouver des voitures redoutables d'efficacités. Comme la Lola Aston Martin de Christophe D'Ansembourg.
Un proto LMP1 piloté par Jos Verstappen, Anthony Davidson et Darren Turner lors des 24h du Mans 2009 ( 13è place ).
Sa meilleur performance durant cette année 2009, étant sa 3è place lors des 1000kms du Nurburgring
avec à son volant Miguel Ramos, Chris Buncombe, Stuart Hall.
A ses cotés la Peugeot 908 de 2011 pilotée ce week end par Nicolas Minassian.
Une voiture qu'il connait bien puisqu'il a participé 5 fois aux 24h du Mans à son volant.
Second en 2008 et troisième en 2011, il n'a malheureusement jamais remporté l'épreuve mancelle.
Un proto LMP1 piloté par Jos Verstappen, Anthony Davidson et Darren Turner lors des 24h du Mans 2009 ( 13è place ).
Sa meilleur performance durant cette année 2009, étant sa 3è place lors des 1000kms du Nurburgring
avec à son volant Miguel Ramos, Chris Buncombe, Stuart Hall.
A ses cotés la Peugeot 908 de 2011 pilotée ce week end par Nicolas Minassian.
Une voiture qu'il connait bien puisqu'il a participé 5 fois aux 24h du Mans à son volant.
Second en 2008 et troisième en 2011, il n'a malheureusement jamais remporté l'épreuve mancelle.
La Ferrari 333SP de Clive Joy.
Chassis 022, c'est au volant de cette voiture que Emmanuel Collard et Vincenzo Sospiri
ont remporté le championnat "International Sports Racing Series" en 1998.
Victoire à Brno, Misano, Donnington, Anderstorp, au Nurburgring et au Mans (Collard / Sospiri).
Un championnat qui a par la suite été remplacé par les Le Mans Series.
Au centre Martin Short au volant de la Dallara SP1 avec laquelle il a participé aux 24 heures du Mans 2005.
Edition durant laquelle il avait engagé cette auto au sein de sa propre écurie, et partagé le volant avec Vanina Ickx et Joao Barbosa.
A droite la Ferrari 575 GTC, Chassis F131 MGT 2210 pilotait ce week end par le danois Mortens Dons.
Une voiture pilotait par Christian Pescatori et Boris Derichebourg dans le championnat FIA GT 2003.
Edition durant laquelle il avait engagé cette auto au sein de sa propre écurie, et partagé le volant avec Vanina Ickx et Joao Barbosa.
A droite la Ferrari 575 GTC, Chassis F131 MGT 2210 pilotait ce week end par le danois Mortens Dons.
Une voiture pilotait par Christian Pescatori et Boris Derichebourg dans le championnat FIA GT 2003.
L'Audi R8 de Travis Engen.
Chassis #606, il semblerait d'après mes recherches que ce chassis ne soit pas reconnu par Audi.
Le dernier chassis assemblait dans leur usine étant le #605.
La raison : cette voiture aurait été assemblée aux Etats Unis à partir de pièces détachées et utilisée pour des tests en Amérique.
A droite la Courage LC75 de Mike Furness et Robin Ward. Un des deux chassis construits.
Cette barquette de course est basée sur la Courage LC70 et a été conçue par Courage pour concourir en catégorie LMP2.
Trois GT, une américaine, une allemande et une italienne.
Trois styles différents, pour trois voitures redoutables d’efficacité.
Trois styles différents, pour trois voitures redoutables d’efficacité.
3 des 73 Venturi 400 Trophy étaient présentes ce week end à Spa dont celle de Romain Rocher.
Chassis 62, et sortie d'usine en 1993, elle a participé au challenge Venturi avec James Sheehan à son volant.
Son PRV 3 litres Double Turbo développe 407cv à 7 200 t/mn pour un poids de 1020 kg.
Chassis 62, et sortie d'usine en 1993, elle a participé au challenge Venturi avec James Sheehan à son volant.
Son PRV 3 litres Double Turbo développe 407cv à 7 200 t/mn pour un poids de 1020 kg.
A l'époque elle possédait une bande tricolore sur son capot avant.
La Ferrari 575 GTC de Morten Dons qui entre dans le pit lane.
Une autre Venturi, celle de Gérard Bouvet.
Chassis 57, elle a été exposée au Mondial de l'automobile à Paris en 1992.
C'est la 57ème 400 Trophy produite par l'usine. Elle a participé au challenge Venturi en 1992 et en 1993 pilotée par Pierre Regnault.
Chassis 57, elle a été exposée au Mondial de l'automobile à Paris en 1992.
C'est la 57ème 400 Trophy produite par l'usine. Elle a participé au challenge Venturi en 1992 et en 1993 pilotée par Pierre Regnault.
Retour aux Combes pour la course de la catégorie Masters Historic Sports Car.
Une course d'une heure qui fut vraiment plaisante à voir.
C'est toujours impressionnant de voir les voitures arriver en dérive dans cet enchaînement droite gauche.
Surtout avec ce genre d'auto, légères et joueuses.
Une course d'une heure qui fut vraiment plaisante à voir.
C'est toujours impressionnant de voir les voitures arriver en dérive dans cet enchaînement droite gauche.
Surtout avec ce genre d'auto, légères et joueuses.
La victoire est revenue à Leo Voyazides et Simon Hadfiled sur la Lola T70 N°6.
Une victoire acquise avec 14 secondes d'avance sur la McLaren M6b de Max & Andrew Banks et 17 secondes sur la Chevron B19 de Loic Deman.
Une victoire acquise avec 14 secondes d'avance sur la McLaren M6b de Max & Andrew Banks et 17 secondes sur la Chevron B19 de Loic Deman.
Une troisième place très disputée, puisque Oliver Bryant 5è est arrivé à 4 dixièmes de Loic Deman troisième.
Toujours présent dans les grands rendez vous, Manfredo Rossi di Montelera était bien entendu en piste avec son Abarth Osella PA1.
On va maintenant s'intéresser à la voiture qui se trouve à droite.
Il s'agit ici de la Daren Mk2 chassis D69/2/4.
D pour Daren, 69 pour 1969 l'année de sa construction, 2 pour Mk2 et 4 puisqu'il s'agit du 4è des 8 chassis construits.
Cette voiture a été livrée en Octobre 1969 à Peter et Jeremy Richardson.
Les frères Richardson l'ont utilisé dans les plus grands rendez vous européens dont les 1000km du Nurburgring en 1970, 1971 et 1972.
Deux voitures qui se ressemblent et qui sont pourtant si différentes : La Chevron B16 et la Lola T70.
Malgré leurs airs de famille, ces deux prototypes ont des conceptions totalement différentes.
Équipée d'un petite 4 cylindres de 1,8l de cylindrée, la Chevron est bien plus petite que son aîné.
La Lola embarque quant à elle, un V8 Ford de 4,8 litres , un V8 Aston Martin de 5 litres ou un Chevrolet de 6 litres ou 5 litres suivant l'année.
Vous l'aurez compris, la Chevron est bien plus maniable, mais sur un circuit aussi rapide que Spa, le V8 de la Lola la rend intouchable.
Place à la course suivante, celle du Jaguar Classic Challenge.
Peu de photo puisqu'il s'agit à 90% de Jaguar Type E.
La victoire est revenu à Graeme & James Dodd sur la Jaguar E-Type N°21 avec plus d'une minute d'avance sur celle de Rhea Sautter et Andrew Newall.
Une Lotus XI comme j'aime, dans son jus,
avec une carrosserie en alu brut.
Tout simplement magnifique.
J'ai toujours eu une préférence pour les voitures
à la carrosserie patinée.
Des empreintes du passé qui sublimes
encore plus les lignes de ces voitures.
La grande majorité des voitures sont
maintenant complètement restaurées,
ce qui je trouve, efface quelque peu
les traces de leur histoire.
La Scirocco-Powell de Paul Woolley.
Une écurie de course américaine fondée par Hugh Powell en 1963 et engagée à 5 reprises en Formule 1 entre 1963 et 1964.
On la retrouve ici dans sa configuration 63 avec un V8 BRM.
Sa meilleur place étant une 8è place lors du GP de Belgique 1963 avec à son volant l'américain Tony Settember
Zoom sur la Talbo Lago T26C chassis #110008 qui a fini le GP Monza 1950 à la 5è place, avec à son volant, le Rouennais Philippe Étancelin.
Une voiture qu'on a l'habitude de croiser, la Lola T70 chassis SL76/150 ex. David Piper.
Toujours aussi belle dans ce vert "So British".
Toujours aussi belle dans ce vert "So British".
La course d'endurance a laissé quelques traces sur cette Ford GT40, qui a malgré tout terminé l'épreuve à la troisième place.
Pour ma part, j'ai comme les années précédentes assisté la Porsche 356SC N°35 durant cette course.
C'est pourquoi j'ai pas pu prendre de photo.
Tête à tête avec l'Audi R8 LMP1. Une voiture monstrueuse qui a marqué son époque.
Audi ayant remporté 13 des 18 dernières éditions des 24h du Mans.
La R8 ayant été à la base de cette réussite pour le moins exceptionnelle.
Audi ayant remporté 13 des 18 dernières éditions des 24h du Mans.
La R8 ayant été à la base de cette réussite pour le moins exceptionnelle.
La troisième Venturi présente ce week end.
Piloté par Guy Burnichon, cette 400 Trophy a participé d'après mes souvenirs aux 24 heures du Mans 1994.
Une marque qui aurait s'en doute mérité une histoire plus heureuse.
Quand on voit le retour aujourd'hui de la marque Alpine aucun doute qu'il y aurait la place pour un retour de Venturi.
Quelques photos d'époque dont les trois première qui sont très réussis ont été prises par Claude Parpex
A gauche, la Lotus 18 chassis 915 d'Andrew Beaumont aux couleurs UDT Laystal Racing.
A droite une Lotus 25, mais pas n'importe laquelle.
En effet il s'agit du chassis R4, un chassis mythique, peut être le chassis le plus réussi de l'histoire de la F1.
A son volant Jim Clark a remporté 7 victoires en 1963 et est devenu champion du monde.
Des victoires a Spa, Zandvoort, Reims, Silverstone, Monza, Mexico et East London en Afrique du Sud.
A droite une Lotus 25, mais pas n'importe laquelle.
En effet il s'agit du chassis R4, un chassis mythique, peut être le chassis le plus réussi de l'histoire de la F1.
A son volant Jim Clark a remporté 7 victoires en 1963 et est devenu champion du monde.
Des victoires a Spa, Zandvoort, Reims, Silverstone, Monza, Mexico et East London en Afrique du Sud.
Deux ATS, une HS01 et une D3 .
Nous allons nous pencher dans un premier temps sur la HS01 ( N°177 ) qui n'est autre que la première ATS.
Confiée à Jochen Mass et Jean-Pierre Jarier durant la saison 78, les ATS disputent douze Grands Prix
sans parvenir à inscrire le moindre point au championnat.
Une BMW 3.0 CSL victorieuse ce week end : celle des belges Christophe Van Riet et Christian Dumoulin.
La Cooper T39 d'Adrian van der Kroft.
Un modèle qui a vu le jour en 1955, et qui avec son poste de conduite central ressemble à un jouet.
Je dois dire que je la trouve sublime. Quelle réussite !
A ses cotés, la Cooper Monaco T49 de Paul Griffin.
Ce chassis CM/4/59 a été commandé à l'époque par Jack Brabham, qui a participé à de nombreuses courses à son volant.
Volant qu'il a partagé avec Bruce McLaren au Tourist Trophy 1959.
Roy Salvadori a également conduit cette voiture, c'était lors du National Open Crystal Palace, également en 1959.
A gauche, on retrouve Jack Brabham à son volant en 1960 à Riverside.
Une voiture qu'il a ensuite vendu à Sam Weiss, qui a malheureusement trouvé la mort à son volant sur le circuit de Laguna Seca.
La photo ci dessous à droite, a été prise par Ike Smith quelques heures avant son décès.
L'Alfa Roméo P3 Type B chassis 50004 de Stefan Rettenmaier
Une voiture dont vous pouvez redécouvrir l'histoire dans mon article sur ma journée du dimanche à l'AvD Oldtimer 2016.
Direction la dernière course du week end pour moi.
Nous sommes dimanche, il est 16h40, et ça fait trois jours que je suis sur le circuit.
Autant dire que je commence à avoir les jambes lourdes.
Impossible cependant pour moi de louper une course de F1.
Avec le N°43, la McLaren M23 de Charles Nearburg.
Chassis M23/11, cette voiture a été pilotée par James Hunt en 1977 à Kyalami ( 4th ), et à Long Beach ( 7th ).
Puis en fin de saison par Brett Lunger à Watkins Glen ( 10è ) sous les couleurs BS Fabrications.
En 1978, elle a fini sa carrière aux mains de Nelson Piquet qui l'a piloté à Zeltweg ( dnf ), Zandvoort ( dnf ), et Monza ( 9th )
La March 761 Cosworth de Paul Grant, chassis 761-01 suivie par le Lotus 76/1 d'Andrew Beaumont.
Une voiture qui a participé à trois GP avec Ronnie Peterson, et un avec Tim Schenken.
Quatre courses qui se sont malheureusement soldées par quatre abandons.
Accident à Kyalami, surchauffe en Espagne, fuite d'essence à Nivelles et disqualifiée pour un départ volé à Watkins Glen.
La Shadow DN5 Ex.Tom Price de Martin Lauber
Le départ de la course approche. Il est temps d'évacuer la piste afin de laisser les pilotes en découdre.
Auteur de la pole position Michael Lyons partira devant Nick Padmore.
A peine le temps de rejoindre le Bus Stop que les premières F1 arrivent déjà dans un vrombissement indescriptible.
La Lotus 81 de Steve Brooks. Un chassis que j'ai pas réussis à identifier.
Sans aucun doute un des trois premiers sur les quatre construits, mais lequel ...
Trois pilotes ont pilotés ces châssis, et pas des moindres, puisqu'il s'agit d'Elio de Angelis, Mario Andretti et Nigel Mansell.
Deux F1 qu'on croise rarement sur le circuit de Spa.
L'ATS D3 chassis 01 de Romain Rocher. Une voiture piloté en 1979 par Hans-Joachim Stuck et en 1980 par Jan Lammers.
Son meilleurs résultat ? Une 5th place a Watkins Glen en 1979.
Et la Hesketh 308, chassis 01, première F1 Hesketh à voir le jour.
Une voiture qui a été pilotée par deux champions du monde, James Hunt et Alan Jones.
C'est également au volant de cette voiture que James Hunt a réalisé un dépassement audacieux sur Ronnie Peterson,
lors de l'International Trophy 1974 à Silverstone. Un dépassement qui lui a permis de remporter sa première victoire.
Pete Lyons, dans son ouvrage de 1975,
Formula One, The Drivers, a écrit à ce propos :
« Évaluant soigneusement les différences de performances
entre les deux voitures, il décida de l'endroit
du circuit où il devait porter son attaque, et sélectionna
le virage de Woodcote—une des courbes rapides les plus spectaculaires
de toute la saison de Grand Prix, où il fallait manier l'accélérateur
avec délicatesse pour entretenir à 250 km/h une angoissante dérive,
devant la plus grosse concentration de public sur le circuit !
La façon avec laquelle Hunt a lancé sa voiture
derrière la Lotus de Peterson et a accéléré dans le virage
pour prendre la tête et remporter la course
restera gravé à jamais dans la mémoire
de tous les passionnés qui assistaient à l'épreuve.
Un épisode magnifique ! »
La Williams FW07D de Mike Wrigley suivie par la Fittipaldi F5A de Max Smith-Hilliard.
Max Smith-Hilliard qui a remporté le championnat 2017 dans la catégorie Pré-78.
Michael Lyons a quant à lui remporté le championnat dans la catégorie Post-78.
Malgré une casse moteur dans la première course du week end,
il a pu participé à la seconde manche grâce à la générosité d'un de ses concurrents, et au travail de ses mécaniciens.
En effet, le pilote Mike Wrigley lui a prêté son moteur de rechange afin qu'il puisse être au départ de la course
Une course qu'il a remporté avec 16 secondes d'avance sur Christophe d'Ansembourg.
Malgré une casse moteur dans la première course du week end,
il a pu participé à la seconde manche grâce à la générosité d'un de ses concurrents, et au travail de ses mécaniciens.
En effet, le pilote Mike Wrigley lui a prêté son moteur de rechange afin qu'il puisse être au départ de la course
Une course qu'il a remporté avec 16 secondes d'avance sur Christophe d'Ansembourg.
Et voilà, la course touche à sa fin, et mon week end également.
L'occasion comme à chaque fois pour les pilotes de saluer le public et les commissaires.
Pour ma part, c'est le moment de conclure cette 25ème édition des Six Heures de Spa Classic.
La grosse nouveauté cette année aura été l’apparition pour la première fois de la catégorie Masters Endurance Legends.
Des voitures certes plus modernes que celles qu'on a l'habitude de voir,
mais qui malgré tout ont ajouté de l'engouement à cet événement qui pourtant était déjà une réelle réussite.
Un événement qui est synonyme de fin de saison 2017 pour moi.
Je vous donne rendez vous en 2018, pour une année qui devrait être riche en nouveauté pour moi,
avec si tout va bien, un mois de Mai qui devrait me voir couvrir le GP de Monaco Historique et le départ des Mille Miglia.
Deux événements que j'ai toujours rêvé de couvrir.
Des voitures certes plus modernes que celles qu'on a l'habitude de voir,
mais qui malgré tout ont ajouté de l'engouement à cet événement qui pourtant était déjà une réelle réussite.
Un événement qui est synonyme de fin de saison 2017 pour moi.
Je vous donne rendez vous en 2018, pour une année qui devrait être riche en nouveauté pour moi,
avec si tout va bien, un mois de Mai qui devrait me voir couvrir le GP de Monaco Historique et le départ des Mille Miglia.
Deux événements que j'ai toujours rêvé de couvrir.